Le plus frappant dans ce que j'avais appris au cours de ma visite, c'était que mes hôtes français au plus haut niveau avaient entièrement adopté le principe de la défensive, qui s'était également imposé à moi de façons irrésistible. En parlant à tous ces officiers français hautement qualifiés, on avait l'impression que les allemands étaient les plus forts et que la France n'avait plus désormais l'élan vital nécessaire pour monter une grande offensive. Elle lutterait pour son existence, voilà tout. p273