_ Je nageais donc deux fois par jour dans ce qu'il est convenu d'appeler le trou des chiottes. Et fort heureusement, j'étais déjà suffisamment shaolin pour remonter hors des toilettes pile avant mon retour corporel parmi l'espèce humaine. Sinon, je me serais noyé, et j'aurais durablement bouché toute la plomberie de la clinique psychiatrique de Saint-Brieuc.