Les parents de Cenzo étaient des paysans illettrés qui faisaient le gros dos ; la terre ne faisait pas de politique, ses exigences étaient déjà celles d’un tyran, avec ses sautes d’humeur, mais un tyran connu, éternel et nourricier, sans autre rancune qu’à l’encontre de la négligence. Mussolini passerait, tôt ou tard, mais la terre resterait. Et l’amour entre Cenzo et Clara aussi.