Ces pandémies ont d'abord décimé les vieux. C'était triste, bien sûr, mais somme toute... "Somme toute", c'est le mot. Le décompte pouvait être rentable. Sauf que les virus ne se laissent pas commander par des logiques politiques. Et puis, après la régression économique effroyable qui a suivi la première grande pandémie, les gens se sont dit qu'à l'avenir, ils préfèreraient sans doute sacrifier les vieux que leurs revenus personnels...