Et puis, von Elpen a pris du temps pour me parler. Il m'a exposé son programme politique : je n'y ai pas saisi grand-chose, mais je n'ai pas fait de commentaire. Il voulait régénérer notre pays, le débarrasser de ses parasites, rendre à notre peuple sa fierté... Je n'étais pas contre, tout se tenait logiquement. C'était presque de la sagesse. Du bon sens. Je n'osais pas en parler avec Katrin, parce qu'elle n'était pas de ce côté-là de la sagesse.