Tu meurs pour quoi, alors ?
Je meurs pour quoi ? Je meurs parce que le monde dans lequel je vis ne mérite pas qu’on meure pour elle, alors ça donne une raison de vivre.
Et à cela, je n’avais rien à opposer. C’était vrai, même pour cette petite cohorte de héros, ou peut-être de fous. Dans les deux cas, ils avaient maintenant une chose au nom de laquelle sinon mourir, du moins vivre.