Ma mère est morte. Quelque part entre minuit et une heure du matin, le beau papillon de son âme s'est envolé à jamais, en laissant tomber un peu de poussière de ses ailes. Quelques particules, froides et calmes, presque dorées, se sont déposées sur le front et les lèvres de ma Mère. D'autres, plus noires et tristes, ont allumé un cierge dans mon cœur.