L’ouroboros aura dévoré mon existence, partant de ma tête, se gavant de mes entrailles… J’aurai au moins tenté de lutter contre ce cercle vicieux, pesant comme le métal lourd à mon doigt, brulant mais nécessaire. J’ai compris aujourd’hui que seule ma mort mènera à une fin acceptable. (Ourobouros, Céline Thomas)