La musique sous Weimar est une vieille femme venue pour le thé et piégée dans une orgie. Pierrot Lunaire ouvre le nouveau théâtre des opérations, Berlin, et donne les termes embrouillés du grand combat que l’avant-garde et la gauche allemande vont perdre dans les grandes largeurs.
Première partie. Ernste Musik, p. 29