Tout avait été beaucoup plus simple que ce que j’avais imaginé ; nous allions bien ensemble, comme des pièces se correspondant, conçues pour s’emboîter. Cette constatation m’avait procuré une secrète satisfaction – nous étions physiquement compatibles, comme nous l’étions pour le reste. Le feu et la glace, qui arrivaient à coexister sans se détruire mutuellement. Une preuve de plus que je lui appartenais corps et âme.