« Ça va aller » […] cela faisait partie de la litanie, des psaumes. C’était la voix de l’adulte faisant appel au noir et profond puits des années à la rescousse de l’enfance terrorisée ; ce que l’on dit quand ça va mal ; la lumière qui, si elle ne chasse pas le monstre du placard, l’accule au moins quels instants ; la voix impuissante mais qui, malgré tout, doit parler.
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