Les historiens ne se sont encore que trop peu intéressés à la manière dont ces survivants ont basculés dans le temps de paix, à la manière dont ils s’étaient ou non arrangés avec les souvenirs de la guerre, pour se réadapter à la vie civile, eux qui avaient passé, comme Laby, plus de quatre années à soigner des blessés de guerre dans des conditions inimaginables.