Aux portes des confins, le sens s’ébranle, abonde. Que nul ne déplore sa faiblesse, que nul ne se lamente de ses erreurs, les vérités n’implorent aucun sursaut, elles surgissent avec une telle vigueur qu’elles vous mettent genoux à terre, dans une disposition à recevoir le réveil imminent d’une vie nouvelle emplie d’un textus ou d’un tissu, texte tissé par des trouées d’ombres et entrecoupé par des mailles étincelantes.