Son corps se met à trembler, il enfouit alors son visage au creux de l’épaule de sa mère et la serre plus fort. Les mains de la vieille femme, sa peau rêche contre la nuque et les joues de son fils ; elle lui souffle délicatement dans le cou, à son oreille, et ils restent longuement là, enlacés, recroquevillés comme les pétales d’une fleur qui se referme pendant la nuit.