"Qui veut vivre dans ces conditions?" Sa main décrivit un demi-cercle, englobant les baraques sordides, le champ ravagé, l'énorme bidonville avec sa couronne nauséabonde de fumée de braseros et d'effluves industriels. "Mais parfois les gens n'ont pas le choix. Parfois, la ville vous saisit, referme ses griffes sur vous et refuse de vous laisser partir."