AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Robert Lawrence Stine (236)


Le dénommé Spork émit un grognement à notre intention. Il lui manquait un œil. Une affreuse cicatrice s’étendait sur un côté de son nez.
Un être humain pouvait-il l’avoir blessé aussi gravement ? Non, il avait dû se battre avec un monstre terrifiant. Et, si Spork avait gagné, à quoi ressemblait le perdant ? Je préférai ne pas y penser et décidai d’être aimable. Ils ne semblaient pas aussi féroces que je l’avais cru.
Commenter  J’apprécie          00
J'ai lorgné vers l'estrade. Le compteur du Trouillomètre avoisinait les 25.
Commenter  J’apprécie          00
EN RéSUME SA SE PASSE DANS UN PARC SURNOMME HORROLAND
Commenter  J’apprécie          00
- Qu’est-ce que c’est ? demanda Emily.
Je souris sans répondre.
- Colin, qu’est-ce que c’est que ce truc ?
Mon sourire s’élargit :
- Je l’ai volé.
Emily en resta bouche bée :
- tu l’as… ?
- M. Croseri n’avait pas le droit de nous accuser ! me défendis-je. Il n’avait pas le droit de nous ridiculiser comme ça devant tous nos voisins ! Ca m’a mis en colère… Alors, j’ai pris ce truc sur une table avant de partir.
Emily, consternée, regardait la petite boîte rectangulaire :
- Qu’est-ce que c’est ? Bon sang, qu’as-tu volé, Colin ?
Commenter  J’apprécie          00
- AAAAAAAH !
Ça, c’est le cri que je pousse pour effrayer les gens. Je me glisse derrière eux sur la pointe des pieds et, sans prévenir, je hurle à m’arracher les poumons. J’adore effrayer les gens. Je sais, ça paraît un peu bête. Mais c’est plus fort que moi.
Commenter  J’apprécie          00
Heureusement, je n’étais plus très loin de la maison de Lily. C’était ma seule chance de leur échapper. Mais je butai sur une pierre dépassant de la neige ! Nooooon !
La caisse de la guitare passa par-dessus moi et retomba avec un bruit mou. Je m’étalai de tout mon long, la tête la première. Et j’attendis, résigné : « Cette fois, c’est bien fini. Ils vont m’avoir ! »
Commenter  J’apprécie          00
-Vous ne savez pas d'où vous venez ?
-Pas vraiment, répondit Lone Starr avec un haussement d'épaules. On m'a trouvé sur les marches d'un monastère. Quelque part dans la galaxie de Ford.
-Et les moines ne vous ont pas dit qui étaient vos parents ?
-Ils ne le pouvaient pas. Ils avaient fait vœu de silence.
Commenter  J’apprécie          00
Pourquoi aurions-nous peur, Irène? C'est un robot géant, voilà tout. Il est programmé pour marcher jusqu'au train, nous flanquer la frousse de notre vie, et basta ! (p.63)
Commenter  J’apprécie          00
Commenter  J’apprécie          00
Je ne savais plus quoi penser. C'était une histoire de fous, pas une histoire d'épouvante. (p.69)
Commenter  J’apprécie          00
Mon premier Chair de poule dès que je l'ai lus j'ai attaquer tous ceux que je pouvait voyait !!!
Commenter  J’apprécie          00
Léa suivit Madame Thomas, l'agent immobilier, dans le grenier. Une longue pièce obscure et mansardée. Avec, sur le côté, une petite porte renforcée par des planches clouées.
- Qu'y a-t-il derrière cette porte ? demanda Léa. Subitement, le sourire commercial de Madame Thomas s'évanouit.
- On raconte une histoire assez horrible sur cette maison. Il y a cent ans, quelqu'un aurait été tué dans cette pièce. Depuis, la porte est verrouillée. A jamais.
Un meurtre, cent ans auparavant ? Même si c'était vrai, pourquoi condamner la pièce ? Lentement, Léa s'approche de la porte. Le cœur battant, irrésistiblement attirée, elle pose sa main sur la poignée...
Commenter  J’apprécie          00
Elle se souvint de son arrivée. Au fond d'elle même, elle avait su tout de suite qu'il y avait quelque chose de maléfique dans cette maison.
Commenter  J’apprécie          00
Judith Woodstock me fit un sale coup pendant que j'allais au tableau pour résoudre le problème de maths. Je ne pus éviter sa basket blanche qu'elle avait avancée traîtreusement au moment où je passais dans l'allée centrale.
Patatras! Je m'étalai sur le plancher. Mes feuilles s'éparpillèrent dans la salle.
Tout le monde éclata de rire.
Commenter  J’apprécie          00
Nous vivons tous ensemble dans ce château, près de notre souffle du vampire. Nous avons chacun une bouteille sur laquelle nous veillons. Nous y tenons comme à la prunelle de nos yeux, expliqua-t-il en soupirant.
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Robert Lawrence Stine Voir plus


{* *}