Ne nous entousiasmons de rien. Pensons que si Dieu a voulu tant éprouver notre jeunesse c’est pour notre bonheur. À nous de prendre courage. À nous de savoir causer à noire tour et de montrer que le temps, la Providence, l’expérience nous a appris plus de belles choses que tous les satyrs de notre pauvre jeunesse. A nous de manger les poires mûres, À nous surtout de rester toujours entre les mains de notre Chère Providence dont nous sommes deux de ses plus chers instruments assurément pour le seul motif que nous sommes les plus proches de ses amis les pauvres et les faibles.