Au Moyen Âge, les auteurs latins et même grecs étaient fort connus ; l'apport du monde antique, classique ou non, était loin d'être alors rejeté ou méprisé. Sa connaissance était considéré comme un élément essentiel du savoir. (…)
Ce qui caractérise la Renaissance, celle du XVIe siècle, et rend cette époque différente de celles qui l'ont précédée, c'est qu'elle pose en principe /l'imitation/ du monde classique. La connaissance de ce monde, on la cultivait déjà.