Les canons lourds de l'ennemi bombardent sans relâche. Les malades et les blessés de l'hôpital, de plus en plus nombreux, sont installés dans les caves. Les rues sont prises en enfilade par des tirs d'armes automatiques. Un éclat tue dans son lit un ancien poilu, mutilé de guerre, qui n'a pas voulu quitter sa chambre.