Rimbaud écrit et publie "Une saison en enfer" quand même, qui donne à sa poésie son intensité la plus grande alors même qu'il la met à mort et l'humilie. (...) Ce qui conduit à penser que le processus est sans fin par lequel la poésie doit perpétuellement en passer, proclamant son insuffisance afin de mieux faire la preuve de son indispensable nécessité.