Après un séjour dans un hôpital psychiatrique, le patient parvenait rarement à se réadapter à la vie normale. Ce n’était pas la faute de cet hospice. (…) De même que la prison ne corrigeait jamais le prisonnier mais lui apprenait seulement à commettre davantage de crimes, de même dans les hôpitaux psychiatriques les malades s’habituaient à un univers totalement irréel, où tout était permis et où personne n’avait à répondre de ses actes.