L’écologie grise :
Alors que la citoyenneté et la civilité dépendent non seulement, comme on ne cesse de le répéter, du « sang » et du « sol », mais aussi et peut-être surtout de la nature de la proximité entre les groupes humains, ne conviendrait-il pas d’innover un autre type d’écologie ? Une discipline moins concernée par la NATURE que par les effets du milieu artificiel de la ville sur la dégradation de cette proximité physique entre les êtres, les différentes communautés ?