Si les vieux livres font vivre bien des gens, c'est non seulement par le gain pécuniaire, mais encore par les jouissances qu'ils procurent : il y a d'une part les voluptueux, de l'autre les marchands de volupté; cette seconde classe, nombreuse et variée, comprend les bouquinistes, les étalagistes, les épiciers; la première classe réunit une collection de types singuliers sous les dénominations de bibliomanes, bibliophiles et bouquineurs.