(Le commandant Gérard Sander, chef de groupe à la brigade criminelle) redoutait par dessus tout d'annoncer la mort à la famille (...), une horrible corvée, ou de recueillir les témoignages des proches qui découvrent eux-mêmes le corps. Pourtant, il avoue qu'il approche dans ces moments-là la véritable nature des gens, car les masques tombent avec la douleur : "En ce monde de paraître, on n'est pas mieux placé qu'à la criminelle pour le contact avec la réalité sans fard. Plus pur que ça tu meurs."