36, rue du Bastion… fin d’une époque, début d’une nouvelle. La presse et les inconditionnels de la « Crim historique » avaient beaucoup pleuré sur le grand escalier en lino noir et le capharnaüm de bureaux vieillissants, mais tellement chargés d’anecdotes, dans lesquels les enquêteurs s’agitaient depuis des générations.