Chez les rats, ce sont les femelles qui travaillent. Amazones d’un Reich sans eau courante, sans charbon, sans gaz ni électricité. Seules capables d’improviser une soupe d’orties ou une salade de pissenlits arrachés au bitume.
Les mâles, eux, sont perdus. Ce Reich n’est plus le leur. Ils gisent tels des bateaux en cale sèche.
Incapables. Inertes. Inutiles.
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