Nick Cutter

Ce livre c'est "Sa majesté des mouches" au milieu de ténias génétiquement modifiés, l'histoire en plus de 500 pages d'une infection en milieu insulaire.



Encore une étude scientifico-militaire non maîtrisée (un produit amaigrissant comme arme biologique de destruction massive) qui décime une troupe scoute partie en stage de survie. Aucun badge ne sera remis au survivant.



N'y voyez aucune symbolique ou métaphore, il s'agit juste d'un récit de survival horror fortement inspiré dans sa structure par Stephen King ; groupe d'adolescents (profils archétypaux) confronté à un phénomène horrifique (qui ici ne s'uniront pas pour combattre le Mal), flash back, documents factuels intermédiaires (l'auteur indique pour ça d'ailleurs le roman de King qui l'a inspiré mais se sent obligé d'expliquer l'intérêt que cela représente pour le lecteur).



Dans la lignée d'autres créateurs comme Clive Barker ou Cronenberg, Craig Davidson (auteur à suivre) décrit la métamorphose organique de manière saisissante sans que son histoire soit innovante, en dehors de la nature de l'infection, pour les adeptes de l'horreur écrite ou cinématographique.

Ce livre pourrait sortir tout droit de la collection "Gore" de Fleuve noir en 1985-1995.



Seulement voilà, le bouquin fait près de 400 pages pendant lesquelles toute l'histoire consiste à faire mourir 6 personnes coincées sur une île par des vers de type tenia.

Heureusement qu'il n'y en avait pas 12 parce le livre aurait eu 800 pages ! Bref c'est beaucoup, beaucoup trop long, il aurait dû faire 200 pages maxi, comme les "gore" de la série évoquée plus haut.



Ce qui m'a beaucoup gêné c'est aussi l'incohérence dans les caractéristiques des vers parasites (puisque c'est la "matière" principale de l'histoire et des 400 pages ...) : parfois ils sont très long et très rigides pour pouvoir s'entourer autour du cou de leur hôte et lui casser la colonne vertébrale, parfois ils sont très longs, plusieurs mètres, mais fins comme des cheveux, parfois ils sont une multitude et minuscules, etc).



J'ai mis 2 étoiles car l'écriture est correcte et l'interposition dans l'histoire, d'articles de journaux, de cr d'audition, ... est intéressante pour expliquer la genèse de ces vers parasites.

Si vous aimez ou mieux adorez Stephen King, ne loupez pas ce thriller sauce "Dream Catcher".

Un bon petit roman que l'on ne peut s'empêcher de comparer à du Stephen King, dont l'auteur explique s'être inspiré de toute façon.



On y retrouve tous les ingrédients de ce style de roman, l'élément terrifiant, les personnages qui s'y retrouvent confrontés. Personnages que l'on découvre au fur et à mesure de l'histoire par soit le récit soit les interviews ou extraits d'articles qui viennent s'intercaler entre les chapitres du récit.



Bref, une très bonne lecture que je recommande aux fans de Stephen King.

Un livre qui se lit facilement. Je m'attendais à un roman un peu plus complexe mais on n'est pas trompé sur la marchandise : angoissant et gore.

C'est un livre que je recommanderai à des grands ados en recherche du genre horrifique.

De Troupe 52 , l'auteur dit dans ses remerciements que son père, son éditeur, son agent ... lui ont tous fait la même réflexion : "Tu tiens peut-être quelque chose". Et le moins que l'on puisse dire c'est que tous ces premiers lecteurs avaient sacrément raison. Un parfum de Sa majesté des mouches de William Golding, un soupçon de la série Magie de Graham Masterton , et un vrai souffle kingien comme l'auteur le reconnaît lui-même font de ce roman une vraie réussite.



5 gosses de 14 ans, 5 amis partis en camp scout sur une île inhabitée, se retrouvent bloqués en compagnie d'un hôte particulièrement agressif et dangereux. Ne souhaitant pas spoiler je ne dirai rien de cet invité mystère mais sachez que débute alors un terrifiant récit de survie. Les caractères et personnalités de chacun vont se révéler, certains se montreront ingénieux, d'autres perdront la face, l'un d'entre eux finira par dévoiler un côté obscur, un psychopathie qui mettra le groupe en grand danger. Chacun tentera de faire front, d'échapper à une mort certaine, terrible, de se soustraire à la peur d'être dévoré vivant, de s'auto dévorer, de s'entre dévorer.



Certains passages sont très difficiles, très gores mais jamais inutilement violents. Par contre, il m'a été impossible de lire plusieurs pages mettant en scène des animaux : la mise à mort d'un chaton et d'une tortue de mer. Ces scènes se justifient toutes deux mais la longueur de chacune et la cruauté, voulue ou non, employée par les auteurs de ces actes m'ont glacé le sang. Je suis une chochotte, je l'avoue mais je savais que ces images me hanteraient pendant des jours et j'ai préféré zapper.



Au final un excellent roman de terreur auquel je ne reprocherai qu'une seule chose : j'aurais aimé avoir de l'empathie pour les personnages, j'aurais voulu que ces héros volontaires ou involontaires me fassent frémir, me donnent envie de dérober un bateau pour tenter d'aller à leur secours. Mais finalement je suis restée sur ma faim, n'arrivant pas à souffrir à leur côté, ne parvenant ni à les aimer assez ni à haïr complètement celui qui se révèlera être un monstre. Car finalement - et j'aurais l'occasion d'en parler prochainement -, ce qui me nourrit en tant que lectrice, c'est cet attachement que j'éprouve pour les personnages.

Ce livre un huis clos assez terrifiant et bien réussi. Une bande d'adolescents scouts partent camper avec leur chef sur une île. La première nuit, un inconnu malade arrive dans leur campement et sème la mort et la terreur.

Ça fait déjà froid dans le dos. Comment vont-ils s'en sortir alors qu'ils voient la terre ferme et la sécurité mais ne peuvent s'y rendre?

Et quoi de mieux qu'un huis clos pour poser une ambiance étouffante? L'auteur partage beaucoup de détails pour plonger le lecteur dans la psychologie de chaque personnage. Des détails dérangeants et donnés avec parcimonie créent vite un malaise. On sent venir l'horreur sans rien pouvoir faire pour protéger ces petits scouts.

Mais ceux-ci sont loin d'être de blanches colombes et pour certains, le passage sur l'île va ouvrir la boîte de Pandore.

J'ai beaucoup aimé cette lecture. Certains moments m'ont paru un peu longs à cause des descriptions, néanmoins elles sont utiles au récit. L'évolution des scouts et de leur professeur est intéressante à suivre. Certains personnages s'enfoncent vraiment dans des abîmes d'horreur et on a mal pour eux. Mais l'homme est un loup pour l'homme. Et ce genre d'histoire le met parfaitement en exergue.

Seul bémol pour moi: les 2 dernières lignes du livre. Mais je ne peux pas en dire plus sans spoiler. Si vous voulez avoir un peu de frisson sur votre canapé, foncez sur cette lecture.
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bon avec un peu de retard, je donne mon avis sur « TROUPE 52 » de Nick Cutter où l’on rencontre Tim Riggs et ses joyeux scouts : Kent, Max, Ephraïm, Shelley et Newton. Je ne peux trop vous en dire sur le sort de nos protagonistes sans vous spoiler ce livre de presque 500 pages, mais quand un homme denutri, visage maladif, affamé vient se perdre sur une petite ile ou traine de jeunes scoot, on craint pour leur sort. (C’est écrit gros pour ceux qui s’inquiètent du pavé) J’ai bien aimé cette lecture, ceux qui me connaissent savent pourquoi, le sujet est intéressant et c’est bien écrit on s’imagine bien les situations. Si vous aimez le genre un peu gore vous aimerez TROUPE 52.

Le pire livre qu'il m'ait été donné de lire, pourtant, amateur d'horreur, je me suis lancé dans la lecture plein de bonne volonté...

L'histoire est d'un classicisme affligeant, aucun personnage n'est attachant, rien ne fait peur...

Alors oui, il y a des effets de gore, on ne peut pas le nier, certains passages sont vraiment dégoûtants et on voit que l'auteur a voulu choquer pour choquer : raconter sur 4 pages comment un personnage s'amuse à noyer des chatons ou sur 3 le dépeçage d'une tortue vivante, je ne vois pas l'intérêt.

Un livre à fuir que je ne recommande à personne.

Fan de Stephen King ,il y a des années que je n'avais pas lu un livre d'horreur de cette qualité !

Un véritable chef d'oeuvre , angoissant et terrifiant jusqu'à la dernière ligne !

Roman d'horreur réussi. Effrayant, gore et amusant.

Je n'ai pas acheté ce livre. On me l'a offert. Mais je crois que je l'aurai acheté quand même rien que pour la note de Stephen King "Troupe 52 m'a terrifié. Âmes sensibles s'abstenir". J'adore Stephen King donc le fait qu'il ait aimé ce livre m'a intrigué. Je l'avoue les 200 premières pages m'ont un peu ennuyé. Je voyais où l'auteur voulait nous amener mais pour autant je n'étais pas sur de vouloir le suivre. Mais je n’aime pas abandonner les livres alors j’ai lutté. Grand bien m’en a pris !

Ici nous avons le cliché des scouts qui grandissent. C’est leur dernière randonnée car les ados n’ont plus envie de réfléchir à comment faire un feu. Ils préfèrent regarder sous les jupes des filles. On trouve les stéréotypes des adolescents : la forte tête, le colérique, son ami patient qui le soutient, le nerd et …le psychopathe. Et c’est surtout quand ce dernier, Shelley, s’est vraiment montré sous son vrai jour que je suis rentré dans l’histoire. On n’est plus dans une banale histoire d’infection. Il y a deux menaces : le ver qui vous ronge le corps et vous oblige à dévorer tout ce que vous trouvez et Shelley qui joue avec les scouts. Là on passe de l’horreur au thriller psychologique. Puis on revient à l’horreur et inversement. Et j’ai aimé ça. Il y a une réelle idée derrière la création de ce personnage. Qui est le plus dangereux : le ver ou l’homme ? Alors c’est sur que certains passages donnent la nausée. On ne peut empêcher un rictus de dégoût s’afficher sur notre visage. Mais il y a aussi les adolescents face à la peur de la mort. Et là on nous montre bien que « ce n’est pas comme dans les films ».

Nick Cutter ou plutôt Craig Davidson a rendu un hommage à Stephen King et notamment à Carrie. Il lui a emprunté le fait d’entrecouper les chapitres par des extraits de journaux ou de procès qui ont lieu après la catastrophe de l’île. C’est une méthode que j’apprécie dans un livre. Cela nous permet de voir un regard extérieur sur la situation. Après le désavantage principal est que ça coupe l’huis-clos. Le lecteur peut reprendre son souffle. Ça casse un peu le rythme mais c’est un mal nécessaire si on veut offrir aux lecteurs la véritable histoire du ver infectieux.

Tim Riggs, chef scout, emmène un groupe d'adolescents sur l'île de Falstaff Island pour trois jours de camping. Tout se passe bien jusqu'à l'arrivée d'un mystérieux individu affamé, et n'ayant plus qu'une forme humaine approximative. Toutes les questions sont permises : comment est-il arrivé sur l'île ? Pourquoi est-il affamé de la sorte ? Qu'est ce qui l'a mis dans cet état ? Une étrange infection va se propager mais je passerais celle-ci sous silence afin de ne pas spoiler le livre.



J'ai tout de suite été attiré par la 4ème de couverture. Et tout ce que je peux vous dire, c'est que je ne m'attendais pas du tout à cela ! En fait, avec du recul, je ne sais pas à quoi je m'attendais réellement... J'avais bien vu la citation "Troupe 52 m'a terrifié. Âmes sensibles s'abstenir" de Stephen King et pourtant...



Nick Cutter s'est inspiré de la structure narrative de "Carrie" de Stephen King, honnêtement je n'ai jamais lu de S. King. L'histoire est entrecoupée de coupures de journaux, interviews et extraits de procès après cette catastrophe. Tous ces éléments ajoutés contribuent grandement à la compréhension de l'histoire. Nous avons donc deux points de vue, celui sur l'île avec nos jeunes scouts et d'autre part, celui des adultes sur la terre ferme.



Au début de ma lecture, je ne comprenais pas grand chose. J'ai failli abandonner à plusieurs reprises tant l'ambiance de ce livre est malsaine, glauque,... Mais comme il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, j'ai tout de même continuer. Et là, ô surprise ! Je me suis prise au "jeu". Je me suis retrouvée à tourner les pages frénétiquement avec une fringale démesurée. Pourquoi me direz vous ? Mais pour savoir le fin mot de cette horrible histoire !



L'auteur a réussi son pari de me faire apprécier son livre alors que j'avais de sérieux doutes. Un roman d'horreur à l'état pur grâce aux minutieuses descriptions qui sont littéralement répugnantes. Si seulement, cela s'arrêtait là, mais non l'auteur en rajoute une couche avec les personnalités/comportements des adolescents.



Nick m'a horrifiée et dégoûtée avec cet abominable huis clos. Je vous promets une lecture angoissante, flippante mais qui se dévore ! Je recommande ce livre aux amateurs d'horreurs, frissons garantis !!!
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Craig Davidson, je ne connaissais de lui que l'adaptation cinématographique de son livre, de rouille et d'os. Que j'ai adoré. Bon, il a été produit par Jacques Audiard. (passons).

Ce livre est vraiment... crade, puant, avec des descriptions horribles. Un futur film avec beaucoup de sang, de scènes insoutenables, à la zombie-land.

Mais il est bien écrit. L'auteur dit s'être inspiré de la construction du livre Carie. Mais j'y ai aussi beaucoup senti le style de Stephen King. Dans l'écriture. Et comme j'adore King, et bien, forcément, j'ai aimé lire ce livre. Un petit clin d’œil avec la peau sur les os. (Backmann).

Oui, je le conseille. Je n'ai pas lu les autres livres de cet auteur. Je vais donc tenter, pour voir. Car de rouilles et d'os est tellement différent. Cela me semble bizarre qu'un auteur écrive deux ambiances, histoires, personnages aussi différents.

Chaque année, cinq scouts et leur chef Tim Riggs partent camper sur l'île de Falstaff Island. Pendant leur séjour, un homme amaigri et qui semble très malade débarque sur l'île. On ne sait pas grand chose de lui sauf qu'il a terriblement faim et semble manger tout ce qui trouve à sa portée. Qui est-il ? Est-il malade ? Si oui, est-il contagieux ?

Coupée du reste du monde, les vacances des scouts vont tourner au cauchemar...



J'adore les livres qui font peur ! Le dernier en date était "Bird box" de Josh Malerman. Alors quand les éditions Denoël me proposent de lire un livre que Stephen King a trouvé terrifiant, je ne pouvais pas passer à côté !



Petit conseil : Ne manger pas avant de lire ce livre !

Effectivement, tout tourne autour de la nourriture. Un individu malade débarque sur l'île où se trouve les scouts et a vraiment très faim. Je ne dirais pas grand chose sur le mal qui le ronge car je vous laisse le découvrir par vous même... mais je peux vous dire qu'à la lecture de ce roman, mon estomac s'est soulevé à plusieurs reprises. J'ai fait plusieurs pauses dans ma lecture car l'auteur arrive à nous faire ressentir cette histoire de A à Z.



L'auteur nous impose également de petites pauses dans le récit avec quelques passages comme des articles de journaux ou des dépositions de personnages importants dans la compréhension de l'histoire. Cela permet au lecteur d'en apprendre davantage sur le "mal" présent tout au long de l'histoire et de comprendre d'un autre point de vue la situation sur l'île.



C'est prenant du début à la fin et même si le lecteur pense savoir comment tout cela va se finir, je dois dire que l'auteur a encore réussir à me surprendre dans les dernières pages.



Bref, âme sensible s'abstenir !
Lien : http://lespetitslivresdelizo..

babelio_id:Cutter-Troupe-52/887995

Nous sommes dans un huit clos durant lequel nous partageons le quotidien de 5 adolescents partis en camp scout avec leur chef, sur une île inhabitée (hormis des cabanes) et isolée de tout.



Tout s'annonce bien jusqu'à l'arrivée en pleine nuit, d'un homme au comportement étrange et l'aspect inquiétant qui n'a qu'une seule obsession : manger !!!

Le décor est posé et l'on peut s'attendre à tout et surtout au pire...



Voici un roman qui promet de mettre nos nerfs à rudes épreuves : du frisons, de l'angoisse, de la peur, de l'horreur... un mélange parfait, non ?



Et pourtant, je n'ai pas du tout adhéré...



Les événements mettent vraiment trop de temps à arriver (les 100 premières pages sont ennuyeuses), il y a énormément de longueurs, de nombreuses rétrospectives sur la vie des personnages qui pour moi, n'apportent pas grand chose à l'histoire.



Je n'ai pas non plus apprécié les personnages : trop clichés avec le geek, la brut, le fou, le sportif,... aucune empathie pour eux.



Quant à l'aspect horrifique ? Alors oui, il y a du gore mais je m'attendais pas à ce style et pour moi, c'était pas correctement dosé. Nous sommes plutôt sur du fantastique avec pour base, une sorte de "contamination".



Le point positif : les interviews, les coupures de journaux qui permettent de comprendre ce qu'il s'est réellement passé.



En bref : Une nouvelle déception, j'ai eu l'impression de lire une "parodie". Je n'ai pas eu le moindre frisson et je pense que le commentaire de Mr Brest Easton Ellis est légèrement exagéré..

J'aime l'horreur, les descriptions crapuleuses ne me refroidissent pas mais parfois, voire souvent, les scènes de tortures animales vont trop loin à mon goût.



Ceci mis à part, le timing, les personnage, l'intrigue, tout est excellent.

J'aurais juste préféré ne pas avoir envie de balancer le bouquin dans un coin de temps en temps.

C'est le livre le plus gore et horrible que j'ai lu jusqu'ici.

Une fois par an, le chef scout Tim Riggs emmène un groupe d’adolescents sur Falstaff Island, en pleine nature canadienne, pour trois jours de camping. Et rien de tel qu’une bonne histoire de fantômes et le crépitement d’un feu de joie pour faire le bonheur de la joyeuse troupe. Mais lorsqu’un individu émacié, qui semble tout droit sorti d’un film d’horreur, débarque sur leur camp, réclamant de la nourriture, le séjour vire au cauchemar. L’homme n’a pas seulement faim. Il est malade. Un malade comme ils n’en ont jamais vu… et dangereux avec ça.

Coupée du reste du monde, la troupe va devoir affronter une situation bien plus terrible que toutes les histoires inventées autour du feu. Pour survivre, ils devront combattre leurs peurs, les éléments, et se confronter à leur pire ennemi, eux-mêmes.



j'ai beaucoup aimé l'approche des articles de journaux pour nous parler de la situation à l’extérieur de ce que les personnages voyaient et vivaient.

Les scènes d'horreur sont réussies, elles sont terrifiantes. Le rythme est progressif, peut-être un peu lent parfois mais ça ne m'a pas dérangé.

À mi-chemin entre Sa Majesté des mouches et 28 jours plus tard, ce thriller qui a fait pâlir d’angoisse Stephen King en personne vous plongera au cœur des ténèbres, à la frontière de la folie.

Âmes sensibles s'abstenir, vous risquez la nausée et l'écœurement, pour les autres, foncez

J'avoue être resté totalement en dehors. Même pas peur ...