Je n'ai pas senti un seul instant que je n'étais pas une femme honnête. Je savais désormais que mon métier est une invention des hommes, eux, les tyrans de ce monde -ci et de l'au-delà. Je savais que ce sont les hommes qui obligent les femmes à vendre leur corps pour de l'argent, et les femmes qui reviennent le moins cher sont les épouses. (p. 144)