Mazo de La Roche

Ce livre recueille les deux premiers tomes de la saga des Whiteoak : La naissance de Jalna et Matins à Jalna. Je suis très contente qu’une nouvelle édition de cette saga soit parue car il n’était pas évident de se la procurer et c’est bien dommage au vu de la qualité littéraire de cette série.

Dans le premier tome, on suit le voyage riche en rebondissements, des Indes jusqu’au Canada, de la famille Whiteoak composée de l’intrépide Irlandaise Adeline et de son plus flegmatique mari anglais Philippe. Les personnages sont nombreux mais très bien décrits.



Dans le deuxième tome, la famille est installée dans le domaine de Jalna avec ses quatre enfants : Augusta, Nicolas, Ernest et le petit Philippe. J’ai trouvé que deux parties se distinguait. Dans la première, on suit la famille qui accueille un couple d’amis, M et Mme Sinclair, réfugiés du sud des Etats-Unis à cause de la guerre civile qui oppose partisans et opposants à l’esclavage. Propriétaire de plantations de coton, les Sinclair sont dans le camp des partisans et ils viennent avec trois de leurs esclaves. On suit donc leur installation chez Adeline et Philippe et son impact sur la famille, les domestiques et les voisins. L’occasion est ainsi donnée à l’auteure d’aborder les réflexions sur la condition humaine de cette époque. Quand les Sinclair partent, la vie reprend son cours. On suit alors plus en détails les trois aînés qui planifient une fuite pour échapper au pensionnat en Angleterre.



L'auteure détaille aussi bien les nombreux personnages de l’histoire, leurs pensées, leurs actions que les paysages dans lesquels ils évoluent. La nature sauvage de l’environnement de Jalna est propice à la rêverie avec ses bois, sa rivière et sa neige en hiver.



Je remercie Babelio et les éditions J’ai lu pour ce premier tome qui m’a permis de commencer cette série que je continuerai avec plaisir dans les prochaines années avec la parution des tomes suivants.

C’est très intéressant de se plonger dans ce roman écrit en 1929 par Mazo De La Roche. Certes, le langue a changé, mais l’auteur nous transporte dans ce Canada où tout est à faire . Adeline et son époux viennent de quitter l’Inde.les voilà en route vers cette terre inconnue. Jalna est leur œuvre. La maison témoin de son époque La guerre de Sécession divise. Certains fomentent des complots.

Adeline met au monde ses trois derniers enfants . Ils lui en feront voir Passionnant. Jalna

Cette saga familiale est en 16 tomes regroupés par 2 donc en 8 volumes chez @jailu_editions .



J'avais lu le tome 1 en Octobre 2023 et je viens de lire le tome 2, dans le même volume!



L'histoire a été écrite il y a à peu près un siècle et ça se ressent dans l'écriture et le vocabulaire.



Dans le premier tome 1, on suit les aventures de la famille Whiteoak qui quitte les Indes pour aller s'installer au Canada, en passant par l'Angleterre et l'Irlande. Puis leur installation au Canada avec la construction de leur maison et la naissance des enfants.



Dans ce deuxième tome, des personnages de passage amènent avec eux leurs soucis, c'est-à-dire la guerre civile américaine . On suit beaucoup les aventures des 4 enfants de la famille également, qui grandissent avec beaucoup de liberté!



J'ai eu beaucoup de mal à me remettre dans l'histoire, je n'ai pas du tout aimé les personnages américains de passage chez les Whiteoak. La plupart des personnages sont d'ailleurs plutôt agaçants, d'humeur très changeante et capricieuse.

En revanche, j'aime beaucoup les quatre enfants qui ont des catactères différents, complémentaires et bien plus intéressants que les adultes.

Je me suis lancée à l aveugle dans le premier tome de cette saga canadienne qui en réalité regroupe les deux premiers tomes de l édition originale. On traverse les époques rapidement sans avoir le temps de réellement s attacher aux personnages ni aux événements. A lire seulement si vous avez du temps et un goût prononcé pour les sagas au long cours

Jalna, la saga des Whiteoak, intégral 1, écrit par Mazo de la Roche contient les deux premiers tomes de cette saga, qui dans sa version originale contient 16 tomes.



Jalna, c’est l’histoire d’Adeline et Philippe Whiteoak, jeune couple qui décide de quitter les Indes, où ils se sont rencontrés mais dont le climat rend Adeline malade, pour vivre au Canada.

Dans la première partie du roman, qui commence en 1854, nous suivons le voyage des Indes au Canada, avec un arrêt en Angleterre chez la famille de Philippe puis en Irlande chez celle d’Adeline. Et l’arrivée au Canada avec la construction de Jalna leur future maison.

La deuxième partie, donc le tome 2 des romans originaux, se passe quelques années après, la maison est terminée et Adeline et Philippe ont 4 enfants. Ils acceptent de recueillir un couple d’amis confédérés, et 3 de leurs esclaves, qui fuient la guerre de sécession. Mais cela crée des problèmes avec le voisinage qui n’a pas les mêmes opinions et soutient les Yankees.



J’ai aimé ce roman, c’est une belle brique de presque 800 pages mais qui se lit plutôt rapidement grâce à l’écriture dynamique. Il y a beaucoup de dialogues et il se passe toujours quelque chose dans cette famille, que ce soit avec les enfants ou l’entourage de Jalna.

Ce roman historique nous plonge vraiment dans le vie au Canada au 19e siècle, et les descriptions nous permettent de vraiment s’immerger dans les magnifiques paysages canadiens et d’imaginer Jalna comme si nous y étions.



Je ne connaissais pas du tout cette saga, je remercie Babelio et les éditions J’ai lu de m’avoir permis de la découvrir.

Second tome qui comprend "Mary Wakefield" et "Jeunesse de Renny".



Depuis l'installation de la famille Whiteoak au Canada on découvre ici la seconde et 3ème génération à Jalna.



Les personnages ne sont pas excessivement travaillés mais on sent bien la personnalité de chacun.



Si dans le précédent Adeline m'a semblé peu responsable ici elle joue son rôle de matriarche intransigeante.

Les chiens ne faisant pas des chats il y a désormais le fils Philippe et le petit-fils Renny qui sont tous deux aussi désinvoltes que leur aïeule l'était à leurs âges.

On se demande même comment un tel domaine réussit à survivre avec de telles personnalités.



Quelques rebondissements parmi des chapitres qui s'étirent un peu, l'auteur ayant planté son décor dans le 1 ici il se contente de raconter.

Avec pas mal de description la lecture peut parfois être un peu lourde.



Même si l'histoire est parfois addictive l'ensemble ne m'a pas non plus transportée outre mesure.



Cette saga comporte 8 tomes (soit 16 récits) et pour le moment ma curiosité n'est pas assez aiguisée pour que je lise la suite.

Ce livre est le livre 2 de la sage des Whiteoak mais ils contiennent 2 tomes

J'ai beaucoup aimé le tome 3 sur Mary qu'on voit arriver en tant que gouvernante et qui va vivre des histoires d'amour mouvementée avant de finir avec l'homme qu'elle aime réellement Philippe par contre j'ai trouvé le tome 4 assez long car il retrace la vie de renny qui est un personnage que je n'apprécie pas trop.

Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..

Voici LE premier vrai livre que j'ai parcouru, lorsque j'avais dix ans, publié en France en 1954. J'ai surtout adoré les jolies illustrations dues à la plume sensible et délicate de Françoise Estachy. Le premier livre publié en 1922 de la romancière canadienne mondialement célèbre grâce à sa saga romanesque des Jalna. Le style, lui, me paraît bien dépassé aujourd'hui. Pour apprécier les illustrations, suivre le lien ...

J'avais un a priori non justifié sur les romans de Mazo de la Roche que je pensais trop fleurs bleues.

Je me suis lancée sur une première lecture avec "Trois petits diables" dans la cadre du Challenge Solidaire de Babelio et j'ai eu plaisir à trouver un exemplaire d'un roman jeunesse de la bibliothèque verte avec ses jolies illustrations même si elles sont rares.

Le thème m'a intéressée car j'ai moi-même trois garçons qui forment une fratrie soudée comme les "Trois petits diables" anglais de Mazo de la Roche. La comparaison s'arrête là.

Ces petits diables de la famille Curzon ne sont pas des anges (et tant mieux) même si David, l'aîné, est surnommé Ange et le cadet Alexandre, Le Séraphin, mais ils sont attachants notamment John le narrateur qui est celui du milieu.

Si ce sont des garçons trop turbulents pour Madame Handsomebody qui en a la garde, je trouve qu'ils sont plutôt plein de vie. Ils ont surtout beaucoup d'imagination et préfèrent les rencontres aux leçons austères de leur institutrice.

Orphelins de mère, ils sont en attente du retour de leur père ingénieur qui est parti construire un chemin de fer en Amérique du Sud.

Les garçons vont progressivement s'ouvrir vers l'extérieur, d'abord dans leur jardin puis celui du voisin jusque dans les rues de la ville et au bord de l'eau où ils sont allés pêcher. Les rencontres successives qu’ils font vont leur permettent d'avoir des amis et de se sentir moins seuls.

J'ai particulièrement apprécié leur découverte de l'Aube, c'est un très joli chapitre sur les plaisirs simples. Si le texte manque parfois un peu de rythme, il est plaisant avec une fin comme on les aime.





Challenge Solidarité 2021

Challenge XXème siècle 2021