Créateur mille fois maudit ! Pourquoi vivais-je donc ? Pourquoi en cet instant n’éteignis-je point l’étincelle de vie que vous m’aviez si légèrement transmise ? Je ne le sais pas ; le désespoir ne s’était pas encore emparé complètement de moi ; mes sentiments étaient la rage et le désir de la vengeance. J’aurais avec joie détruit le chalet et ses habitants, et me serais rassasié de leurs cris d’horreur et de leur détresse.