Le matin, vers six heures, nous emmenâmes Paul, encore mal éveillé, mais assez joyeux de l'aventure, et il marcha bravement entre nous. En arrivant au Petit-Œil, nous trouvâmes, pris au premier piège, un pinson. Paul le dégagea aussitôt, le regarda un instant, et fondit en larmes, en criant d'une voix étranglée : « Il est mort ! il est mort !
— Mais bien sûr, dit Lili. Les pièges, ça les tue !
— Je ne veux pas, je ne veux pas ! Il faut le démourir !...