On parle d’une époque où chaque famille avait sa colline, et où les autres n’appartenaient à personne. Il y avait eu des naissances, des héritages, qui traçaient des limites puis les déplaçaient. Parfois celles-ci s’estompaient avec le temps, et les pièces qui s’étaient séparées puis recousues laissaient un dessin capricieux où les chemins dessinaient leurs propres caprices.