Mon propos est le suivant : il n’y a pas plus de deux remèdes généraux à ce que l’on appelle aujourd’hui « la question sociale », et ces deux remèdes sont la charité ou l’esclavage : par charité, je ne fais pas ici exclusivement allusion à l’aumône, mais à la Charité qui règne sur la Justice, une Charité qui présuppose la Justice et qui conçoit la Justice. Aujourd’hui, le courant général du monde se dirige vers l’autre solution, l’esclavage.