Les arbres s'espacent peu à peu et nous longeons de vieux bancs couverts de graffitis [...] des bouts de routes qui ne mènent nulle part et semblent raconter une histoire incohérente.
C'est le langage du monde d'avant, un monde de chaos, de bonheur et de désespoir...Un monde avant que le blitz ne transforme le réseau routier en quadrillage, les villes en prison et les coeurs en poussière.