Gare au bonheur qui crie, qui illumine et éclate comme un feu d'artifice, plongeant le reste du monde dans les affres de l'inconnu ! Un bonheur à soi, ça ne se partage pas. On part avec lui tendrement enlacé avec la peur au ventre de le voir disparaître, les yeux rivés sur l'incertitude du lendemain et fermés aux cris des autres. Un tel bonheur est une injure au monde. Il ne vous le pardonne pas. Et le destin est son complice.