Il faut avoir voyagé dans l’Afrique Noire du XXIème siècle pour se rendre compte à quel point de pauvreté, de précarité, de peur du lendemain est réduite la majorité des hommes et des femmes tandis que les « prédateurs » se pavanent avec l’argent de la corruption et les royalties que les compagnies étrangères versent pour se régaler des ressources du sous-sol, pétrole et minerais.