Après avoir écouté un moment, Eoyore se retourna, avec une satisfaction sereine. C'est la sonate pour piano Koechel 311, mais ça ira, il n'y a plus de difficulté, plus du tout !»
Et je me rendis compte alors que les tourments qui me tenaient prisonnière étaient eux aussi dépassés. Il y aurait de nouveaux soucis, mais à côté de ces tourments, ils ne seraient pas grand-chose...