J'aime celui que je suis quand je parle à bâtons rompus avec ma femme, que je lui raconte ma journée, lui parle de ce qui m'intéresse, ou quand mon fils me fait rire en faisant des grimaces, et je veux vivre en laissant s'exprimer cet aspect de ma personnalité autant que je peux . Si on ressent de la tristesse de la mort de quelqu'un, je crois vraiment que c'est parce qu'on se rend compte qu'on ne sera plus jamais celui que l'on était avec cette personne.(p. 375)