À cette lointaine époque, quand les Japonais ressentaient vaguement que leur vie, leur personnalité ne les satisfaisaient plus, ils avaient coutume de traduire cette pensée en “je veux me retirer du monde” plutôt qu’en “je veux me suicider”. Se retirer du monde, c’est “faire disparaître” le ou les aspects de soi-même liés à la société.