Décidément, quand elle cédait à la tentation de s’apitoyer sur elle-même, ce qui ne lui arrivait pas très souvent, elle savait pleurnicher mieux que quiconque. Se complaire dans son malheur demande des compétences et chacun a les siennes : pour certains, c’est l’alcool ; pour d’autres, la drogue, ou même le chocolat ou encore les feuilletons télévisés.