"Jeffrey répétait souvent qu'il n'aimait pas parler aux parents ou aux amis des victimes avant d'avoir quelque chose de concret à leur annoncer. Elle avait toujours considéré que c'était un peu une lâcheté de sa part, mais maintenant elle comprenait mieux en quoi c'était nécessaire, car les gens avaient besoin d'un peu d'espoir, sous une forme ou sous une autre, qu'on leur assure que les choses allaient s'arranger, au moins sous un aspect."