J’ai toujours aimé les hommes, parce que je n’en suis pas un.
(...) J’ai tenté de conquérir leur cœur et d’apporter un peu d’harmonie dans ce monde. La rancune ne m’a jamais apprivoisé. Je leur ai tout pardonné. L’abandon, les coups, la faim, la solitude, mon périple d’horreurs sur ce chemin de fer.