Le silence des chemins vicinaux qui longent les prairies, rempli de chants d'oiseaux, du bruissement du vent dans les haies et les bouleaux bordant la rivière, ce silence ponctué par les choeurs des grenouilles et des crapauds, par le crissement des insectes l'été et le bétail beuglant au loin. Ca valait largement quelques suées. Bien-sûr, quand l'hiver arrivait, je regrettais parfois de ne pas avoir de voiture, mais c'est une autre histoire.