Après avoir visité Kimberley et Pretoria, comme je trouve le "Spray" fort bien soigné dans son bassin, je retourne à Worcester et Wellington, villes célèbres pour leurs collèges et leurs séminaires et que j'ai déjà traversées en venant ; je voyage toujours aux frais de la colonie. Toutes les dames de ces établissements fort savants souhaitent savoir comment l'on peut faire le tour du monde à la voile tout seul : cela me semble augurer fort bien pour un avenir peuplé de navigatrices au lieu de navigateurs. Et l'on en viendra à cela, si nous autres hommes continuons à déclarer que "c'est impossible".