En cet instant, Guillam ne se sentait pas seulement trahi mais orphelin. Ses soupçons, les rancœurs qu’il avait si longtemps reportées contre le monde réel – contre les femmes de son existence, contre ses tentatives d’amour – se retournaient maintenant sur le CIrque et sur la magie défaillante qui avait si longtemps constitué sa foi. De toute sa force, il poussa la porte et bondit dans la pièce, pistolet au poing.