C’est dans la forêt qu’il prenait la mesure de son être, qu’il respirait l’air du monde, qu’il sentait son appartenance à la puissance de l’univers.
Au fur et à mesure qu’il avançait en âge, il avait développé l’espoir de pouvoir y mourir un jour, comme une bête, sans lamentos ni visages éplorés, rien que le silence de la forêt venu saluer une de ses créatures.