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Citation de manue14


Je passe devant les essuyeurs-de-larmes et les hocheurs-de-tête jusqu’à sentir les rayons de soleil sur mon visage, et l’odeur de gazon fraîchement tondu dans mes narines. Eblouie, je plisse les yeux. Une larme traîtresse dévale ma joue.
Un étranger pose sa main glacée sur mon coude. Je-sais-ce-que-vous-ressentez, semble-t-il me dire. Comment pourrait-il le savoir ? Seules Naomi, Ruby et moi sommes convaincues que Phillip Rochester a obtenu la mort qu’il méritait.
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