Tout restaurant japonais est un "roman". Le roman du patron souvent. Et les clients sont des "lecteurs" de ce roman. Quelle ironie stoïcienne (ou quelle prétention philosophico-esthétique) celui-ci avait-il l'intention de glisser entre les lignes avec son chazuke en sachet et ses assiettes qui débordent ? Tous les clients ne sont pas perspicaces ... Et tous les romans ne sont pas "lisibles" ...