p. 150 deux choses la retiennent pourtant [d’écrire].
D’abord un sentiment d’inutilité, de vanité : à quoi bon écrire quant tant de choses aussi belles restent à lire et à étudier ? Elle a le pressentiment d’une prochaine fin du monde comme beaucoup de jeunes gens de sa génération […]. Elle se dit qu’elle emploierait mieux son temps à enfin lire Balzac dans son intégralité plutôt que de pondre un roman de jeune fille ou de poésie dont elle qu’elle se résume à une effusion lyrique sans grand intérêt.