Avant l’Internet, les fausses nouvelles archéologiques se diffusaient essentiellement par le biais de livres qu’il fallait acheter en librairie ou consulter en bibliothèque. Or les réseaux sociaux ont entièrement modifié les processus de diffusion, grâce aux blogs et surtout aux vidéos, qui peuvent accumuler des dizaines de milliers de vues en très peu de temps, et grâce aux médias sociaux qui leur donnent un écho sans précédent.